Les déplacements et le réchauffement climatique.
Compétence : analyser un document.
Consigne : Lire les documents et répondre aux questions par mots clefs.
Consigne : Lire les documents et répondre aux questions par mots clefs.
1. (Doc. 1) Présenter le document.
2. (Doc. 1) Quelle contradiction, ce document met-il en avant?
3. (Doc. 2) Quel est le moyen de transport qui émet le plus de gaz à effets de serre dans l'atmosphère par kilomètre?
4. (Doc. 3) Parmi les solutions de transport proposées, à la fin du texte, quelle est celle qui vous intéresse le plus? A justifier.
5. (Doc. 4) D'après ce témoignage, quels sont les avantages économiques, sociaux et environnementaux de cette expérience?
6. Proposer une solution qui permettrait de réduire la pollution liée aux transports dans la métropole bordelaise. A justifier.
7. [Bonus] (Doc. 2) Trouver un défaut à ce document.
2. (Doc. 1) Quelle contradiction, ce document met-il en avant?
3. (Doc. 2) Quel est le moyen de transport qui émet le plus de gaz à effets de serre dans l'atmosphère par kilomètre?
4. (Doc. 3) Parmi les solutions de transport proposées, à la fin du texte, quelle est celle qui vous intéresse le plus? A justifier.
5. (Doc. 4) D'après ce témoignage, quels sont les avantages économiques, sociaux et environnementaux de cette expérience?
6. Proposer une solution qui permettrait de réduire la pollution liée aux transports dans la métropole bordelaise. A justifier.
7. [Bonus] (Doc. 2) Trouver un défaut à ce document.
Document 3 : Des transports à réinventer (Belin, 5e, 2016, p.282).
«Le transport est devenu le premier émetteur de CO2 de la planète. Dans ce contexte, l'effort de réduction des émissions de CO2 passe par le développement des transports en commun pour une mobilité durable. Seule leur attractivité pourrait permettre de diminuer l'usage de l'automobile personnelle (43 % des km parcourus dans le monde), devenue un emblème de liberté individuelle. Par la route, le ciel, la mer, le rail, les fleuves et les canaux, les flux de marchandises participent au dynamisme de l'économie. Adopter des transports plus propres à l'avenir passera par le développement de modes alternatifs à la route et à l'avion, et par l'adaptation et l'innovation des moyens de transport aux défis environnementaux (autoroutes ferroviaires, cargos à hydrogène ou à voiles, réacteurs d'avions à algues, avions électriques ...). Enfin, l'interconnexion des réseaux permettra, par exemple, de combiner le rail et la voie d'eau.» F. M. BRÉON et G. LUNEAU, Atlas sur le climat, Éd. Autrement, 2015. |
Document 4: La bicyclette en bambou au Ghana (Belin, 5e, 2016, p.283).
Témoignage de la Ghanéenne Bernice Dapaa, à l'origine de l'initiative « Ghana Bamboo Bikes» lancée en 2009.
«Il y a quelques années, je me suis rendue compte que les vélos qu'on utilisait au Ghana n'étaient pas forcément adaptés aux besoins de la population. Ils permettent de rouler uniquement sur des routes en bon état. En plus, ce sont des vélos qu'on importe, ça ne crée pas d'emplois. J'ai réalisé aussi qu'il y avait beaucoup de bambou sauvage au Ghana, et que c'était une ressource qu'on pouvait utiliser. Sur le plan environnemental, le bambou absorbe le dioxyde de carbone, tout en libérant de l'oxygène. Ses racines permettent aussi de limiter l'érosion des sols. Fabriquer des vélos en bambou présente également de nombreux avantages sur le plan économique. C'est un matériau solide, donc les vélos sont résistants. Du coup, ces vélos n'ont pas besoin d'être remplacés tout le temps. Et s'il faut les réparer, les matériaux et les compétences sont sur place. Ils peuvent donc transporter des charges plus importantes que les vélos "classiques". Plus de 3 000 vélos en bambou ont déjà été produits.»
France24.com, 13 août 2015.
Témoignage de la Ghanéenne Bernice Dapaa, à l'origine de l'initiative « Ghana Bamboo Bikes» lancée en 2009.
«Il y a quelques années, je me suis rendue compte que les vélos qu'on utilisait au Ghana n'étaient pas forcément adaptés aux besoins de la population. Ils permettent de rouler uniquement sur des routes en bon état. En plus, ce sont des vélos qu'on importe, ça ne crée pas d'emplois. J'ai réalisé aussi qu'il y avait beaucoup de bambou sauvage au Ghana, et que c'était une ressource qu'on pouvait utiliser. Sur le plan environnemental, le bambou absorbe le dioxyde de carbone, tout en libérant de l'oxygène. Ses racines permettent aussi de limiter l'érosion des sols. Fabriquer des vélos en bambou présente également de nombreux avantages sur le plan économique. C'est un matériau solide, donc les vélos sont résistants. Du coup, ces vélos n'ont pas besoin d'être remplacés tout le temps. Et s'il faut les réparer, les matériaux et les compétences sont sur place. Ils peuvent donc transporter des charges plus importantes que les vélos "classiques". Plus de 3 000 vélos en bambou ont déjà été produits.»
France24.com, 13 août 2015.