Dynamisme urbain et mondialisation.
Compétence : analyser un document.
Consigne : Répondre aux questions à l'aide des documents proposés.
Consigne : Répondre aux questions à l'aide des documents proposés.
- (Doc. 1) Quelles stratégies Metz et Lyon adoptent-elle chacune pour être attractive ? Pourquoi ?
- (Doc. 2) Décrire la photographie.
- (Doc. 3) Pourquoi peut-on dire que cette région est dynamique ?
- (Docs 2 à 4) Quel est le point commun qui favorise le dynamisme de ces trois espaces ?
- (Docs 4-5) Toutes les villes françaises ne bénéficient pas de ce dynamisme. Relever une phrase dans le texte pour le justifier. Est-ce irrémédiable ?
Document 4 : Des dynamismes de connexion (Wikipedia.fr).
Vierzon1 est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire. Sa position de carrefour tant ferroviaire que routier en fait un nœud de communication, ainsi qu'une ville de passage. Le train et la route mettent la commune respectivement à 1 h 35 min et à 3 h de Paris. C'est cette position, à la porte sud de la Sologne historique, couplée à un prix de l'immobilier relativement bas, qui a permis la reconversion — toujours en cours — de la ville. Si Vierzon reste une cité industrielle importante, les activités tertiaires s'y sont développées depuis le début du xxie siècle. Définition de la ville de Vierzon, article de Wikipedia, consulté en juillet 2023. 1. La communauté de communes de Vierzon-Sologne-Berry (10 communes) comportait 38681 habitants en 2019, cela augmente. |
Document 5 : Les difficultés des villes moyennes (lagazettedescommunes.com, modifié).
Le constat est le même de Saint-Brieuc à Carcassonne, de Calais à Avignon : partout, dans le centre des petites et moyennes villes de France, les stores métalliques et vitrines vides gagnent progressivement du terrain sur les commerces ouverts. Le fossé se creuse avec les grandes métropoles dynamiques : 55% de villes de moins de 100 000 habitants possèdent un taux de vacance commerciale supérieur à 10%, contre seulement 27% des grandes villes. Béziers, Moulins et Vierzon font figure de tristes championnes : plus de 20% des magasins y sont inoccupés! [...] Parce qu’on y stationne plus facilement, parce que les loyers y étaient moins chers et les espaces de vente plus grands, les boutiques ont migré en périphérie depuis les années 70. S’ajoutent les problèmes de la multiplication des logements vides et de la paupérisation de la population des centres-villes, les classes supérieures préférant s’installer dans les banlieues pavillonnaires. « On a construit le territoire en partant du principe que tout le monde se déplace en voiture [...]. Même les établissements publics ont quitté les villes, comme à Privas ou Saint-Amand-Montrond, où on a installé Pôle Emploi dans une zone industrielle ! » [Enfin, ils ne sont pas rares ceux qui partent des campagnes ou des villes moyennes pour tenter leurs chances dans les grandes villes]. |