Le procès de Nuremberg (20 novembre 1945 - 1 octobre 1946).
Compétence : Se repérer dans le temps.
Consigne : Lire les documents et répondre aux questions ci-dessous en binôme en faisant des phrases complètes.
Consigne : Lire les documents et répondre aux questions ci-dessous en binôme en faisant des phrases complètes.
- (Doc. 2) Quelles sont les nationalités des assesseurs ? Pourquoi ?
- (Docs 2-3) Quelle est l’accusation manquante ?
- (Doc. 3) Quelle est la conséquence juridique des crimes nazis ?
- [Bonus] (Doc. 1) Chercher sur internet le rôle, au sein du IIIe Reich, d’Hermann Göering, d’Alfred Jodl et de Karl Dönitz. (Citer vos sources).
- [Bonus] (Doc. 1) Trouver sur internet, quelles ont été les peines appliquées à l’ensemble des prévenus et spécifiquement celle d’Hermann Göering, d’Alfred Jodl et de Karl Dönitz. (Citer vos sources).
Document 2 : L’organisation du procès de Nuremberg (histoire-image.org modifiée).
Intenté par les forces alliées contre vingt-quatre hauts responsables nazis, le procès de Nuremberg se tient du 20 novembre 1945 au 1er octobre 1946. Il est placé sous l’autorité du Tribunal militaire international instauré par les accords de Londres du 8 août 1945 et composé de quatre juges, quatre procureurs et quatre assesseurs soviétiques, français, américains et britanniques. Pendant plus de dix mois, les accusés comparaissent pour complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Le procès est massivement couvert par la presse internationale. |
Document 3 : l’invention du concept de génocide (Larousse).
C'est au cours de la Seconde Guerre mondiale que naît le mot « génocide », forgé en 1944 par le juriste polonais Raphael Lemkin (1900-1959) pour caractériser « la pratique de l'extermination de nations et de groupes ethniques ».
En 1948, grâce aux efforts de Lemkin, l'Organisation des Nations unies (ONU) adopte la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide (CPRCG), qui, entrée en vigueur en 1951, érige, en droit international, le génocide en crime.
C'est au cours de la Seconde Guerre mondiale que naît le mot « génocide », forgé en 1944 par le juriste polonais Raphael Lemkin (1900-1959) pour caractériser « la pratique de l'extermination de nations et de groupes ethniques ».
En 1948, grâce aux efforts de Lemkin, l'Organisation des Nations unies (ONU) adopte la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide (CPRCG), qui, entrée en vigueur en 1951, érige, en droit international, le génocide en crime.