Enjeux conflits dans le monde depuis la fin de l'URSS.
Compétence : se repérer dans l'espace.
Consigne : A partir des documents et de vos connaissances répondre aux questions ci-dessous par mots clefs.
Consigne : A partir des documents et de vos connaissances répondre aux questions ci-dessous par mots clefs.
- Pourquoi les Etats-Unis sont-ils devenus la première puissance mondiale dans les années 1990 ?
- (Doc. 1) Nommer les 7 grandes puissances de monde.
- (Doc. 1) Nommer 3 régions du monde en proie aux conflits.
- (Doc. 2) Avec le document et vos connaissances, trouver au moins deux raisons pour expliquer l'opposition entre la Chine et les Etats-Unis.
- (Doc. 3) Selon vous, quelle conséquence peut-on tirer de cette pandémie de Covid-19 ?
- (Doc. 4) Résumer le texte en 2 phrases environ.
Document 2 : Confrontation entre la Chine et les Etats-Unis (lemonde.fr).
Le gouvernement américain a [...] choisi le boycottage diplomatique : les Etats-Unis n’enverront aucun représentant diplomatique aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de Pékin en raison du « génocide et des crimes contre l’humanité en cours au Xinjiang », a annoncé la Maison Blanche lundi 6 décembre 2021. En étant présente, « la représentation diplomatique américaine traiterait ces Jeux comme si de rien n’était, malgré les violations flagrantes des droits humains et les atrocités de la Chine au Xinjiang. Et nous ne pouvons tout simplement pas faire cela », a soutenu la porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki. [...]
Liu Pengyu, porte-parole de l’ambassade de Chine aux Etats-Unis, a déclaré que les politiciens appelant à boycotter les Jeux le faisaient « pour leurs propres intérêts et postures politiques ». « En fait, personne ne se soucierait de savoir si ces personnes viennent ou non, et cela n’a aucun impact sur le succès de #Pékin2022 », a-t-il écrit sur Twitter. « Nous préconisons que les affaires olympiques restent libres de toute politique », a déclaré le porte-parole du Kremlin [Russie], Dmitri Peskov, tout en notant que « l’essentiel (…) est que les athlètes [américains] ne soient pas concernés » par le boycottage.
Le gouvernement américain a [...] choisi le boycottage diplomatique : les Etats-Unis n’enverront aucun représentant diplomatique aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de Pékin en raison du « génocide et des crimes contre l’humanité en cours au Xinjiang », a annoncé la Maison Blanche lundi 6 décembre 2021. En étant présente, « la représentation diplomatique américaine traiterait ces Jeux comme si de rien n’était, malgré les violations flagrantes des droits humains et les atrocités de la Chine au Xinjiang. Et nous ne pouvons tout simplement pas faire cela », a soutenu la porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki. [...]
Liu Pengyu, porte-parole de l’ambassade de Chine aux Etats-Unis, a déclaré que les politiciens appelant à boycotter les Jeux le faisaient « pour leurs propres intérêts et postures politiques ». « En fait, personne ne se soucierait de savoir si ces personnes viennent ou non, et cela n’a aucun impact sur le succès de #Pékin2022 », a-t-il écrit sur Twitter. « Nous préconisons que les affaires olympiques restent libres de toute politique », a déclaré le porte-parole du Kremlin [Russie], Dmitri Peskov, tout en notant que « l’essentiel (…) est que les athlètes [américains] ne soient pas concernés » par le boycottage.
Document 4 : Le fonctionnement du conseil de sécurité de l'ONU remis en questions (SudOuest.fr)
Avec la pandémie de Covid-19, les divisions entre les cinq membres permanents – États-Unis, Russie, Chine, France et Royaume-Uni – et la paralysie qu’elles suscitent ont atteint des niveaux inacceptables pour beaucoup. [...] Le Conseil de sécurité comprend au total 15 sièges mais ses dix membres non permanents, renouvelés chaque année pour moitié, n’ont pas de droit de veto à la différence des permanents. "Si chaque pays est libre de présenter une résolution, dans la réalité elles viennent surtout des Occidentaux", orientant la gestion du monde, relève un diplomate sous anonymat. [...]
De l’Amérique du Sud à l’Asie en passant par l’Afrique et l’Europe, plusieurs dirigeants [soulignent] la nécessité "urgente" de réformer le Conseil de sécurité afin de mieux refléter le monde d’aujourd’hui.
À l’issue d’une réunion à huis clos, l’Inde, le Japon, le Brésil et l’Allemagne ont revendiqué mercredi un statut de membres permanents. Il y a urgence à réformer le Conseil en l’élargissant pour le "rendre plus représentatif, plus légitime et efficace", sans quoi il risque de devenir "obsolète", ont averti les quatre pays.
Avec la pandémie de Covid-19, les divisions entre les cinq membres permanents – États-Unis, Russie, Chine, France et Royaume-Uni – et la paralysie qu’elles suscitent ont atteint des niveaux inacceptables pour beaucoup. [...] Le Conseil de sécurité comprend au total 15 sièges mais ses dix membres non permanents, renouvelés chaque année pour moitié, n’ont pas de droit de veto à la différence des permanents. "Si chaque pays est libre de présenter une résolution, dans la réalité elles viennent surtout des Occidentaux", orientant la gestion du monde, relève un diplomate sous anonymat. [...]
De l’Amérique du Sud à l’Asie en passant par l’Afrique et l’Europe, plusieurs dirigeants [soulignent] la nécessité "urgente" de réformer le Conseil de sécurité afin de mieux refléter le monde d’aujourd’hui.
À l’issue d’une réunion à huis clos, l’Inde, le Japon, le Brésil et l’Allemagne ont revendiqué mercredi un statut de membres permanents. Il y a urgence à réformer le Conseil en l’élargissant pour le "rendre plus représentatif, plus légitime et efficace", sans quoi il risque de devenir "obsolète", ont averti les quatre pays.